Ce que le jazz m’a appris sur la vie. Puissant !

Je suis tombé l’autre jour sur un passage d’un roman de Douglas Kennedy.
Il parlait du jazz.

Mais en fait, il parlait de nous tous.

Il expliquait que l’improvisation fait partie de l’ADN dans le jazz.

Le jazz repose sur une structure (souvent un thème, une grille d’accords).

Comme nos vies reposent sur des héritages, des histoires, des “thèmes initiaux”.

Le jazz est une variation libre sur cette base — le musicien improvise, explore, s’égare, revient.

Il joue dans la contrainte. C’est dans ce cadre qu’il trouve sa liberté.

C’est exactement ce qu’on essaie de faire avec nos vies, non ?

On ne choisit pas le “thème de départ” :
notre éducation, nos blessures, les vieux schémas qu’on trimballe sans même les voir.

Mais on peut choisir comment on les rejoue.
Quelle variation on crée à partir de là.

Changer, c’est improviser.
À l’intérieur du cadre.
Avec ce qu’on est. Avec ce qu’on a.

Le jazz nous apprend que la liberté ne vient pas de l’absence de structure,
mais de ce qu’on ose en faire.

Et que même si on joue avec les mêmes accords que tout le monde…
ce qui compte, c’est notre son.

Je voulais simplement te partager ça aujourd’hui.

Le Jazz est un genre musical que je connais très peu.

Du coup, cela m’a donné la curiosité d’en écouter.

LU/VU…

La force des discrets, de Susan Cain

Dans un monde qui valorise l’extraversion à tout prix, Susan Cain renverse la perspective : l’introversion n’est pas une faiblesse, mais une force puissante et souvent sous-estimée.

À travers des recherches, des récits personnels, elle explore comment les discrets changent le monde à leur manière — en profondeur, en douceur, avec intensité. Que ce soit en entreprise, en famille ou dans la sphère créative, les introvertis ont un rôle essentiel… à condition qu’on les laisse pleinement être eux-mêmes.

Un livre à lire pour comprendre les autres, mais surtout pour mieux se comprendre soi-même.

Je suis plutôt un introverti pour ma part. Bref, j’ai bien aimé ce livre, forcément.