C’est une affection que nous avons tous plus ou moins.

Nous l’avons tous connu.

Le responsable : notre subconscient qui enregistre nos expériences passées.

Chaque nouvelle action, chaque nouvelle expérience va être filtré par rapport à nos expériences passées.

Ainsi, les décisions que nous allons prendre son en partie déterminée par notre passé.

Conséquence : nos choix ne sont pas toujours optimaux.

 

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Parfois, ce sont de mauvais choix

Par exemple, si tu as connu un incident lors d’un voyage en Egypte, tu risques de ne pas être très motivé pour y retourner.

Si tu as démarré un projet pour devenir indépendant et que tu as échoué, tu risques de ne plus vouloir retenter l’aventure.

Dans les relations de couple, nous répétons parfois les mêmes schémas d’échecs. Par exemple, vous allez avoir du mal à rentrer dans une nouvelle relation en pensant que cela risque de mal se passer à nouveau.

Forcément, en pensant cela, il y a des chances que cela se passe mal.

Or, c’est dommage d’être influencé par le passé.

Car tu n’es pas tout à fait le même, la personne en face est différente, tout est différent.

Nous regardons tous dans le rétroviseur.

Il est difficile de faire en sorte que le passé n’impacte pas notre présent.

Pourtant…

Cela limite nos choix de vie.

C’est un vrai poison en fait.

Un virus persistant

C’est handicapant.

Nous croyons à tort que nous sommes toujours la même personne que nous étions. En nous référant ainsi aux limites de notre passé, nous empêchons ainsi notre potentiel actuel de s’exprimer.

Nous sommes parfois convaincus de nos propres limites.

La solution : prendre conscience de ce syndrome premièrement.

Regarde l’avenir par le pare-brise.

Regarde le rétroviseur pour ne pas reproduire les erreurs du passé.

Mais ne reste pas focalisé dessus.

Regarde trop devant.

Extrait de Kairos, ma lettre quotidienne.
Kairos, kesako ?